User:TyrellInman488

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Altergaz, l’expert 100% gaz naturel .Fournisseur de gaz naturel. Fondé en 2004, Altergaz est le 1er fournisseur indépendant de gaz naturel français à avoir, le 2 mai 2005, obtenu du Ministère de l’Industrie l’autorisation de délivrer du gaz à la clientèle professionnelle. En juin 2007, Altergaz a reçu l’agrément de service aux particuliers, dans le cadre de l’ouverture du marché à la clientèle résidentielle. Depuis juillet 2007, [https://taoufiktaharceo.webs.com/apps/blog/show/46674113-gazprom-derri-232-re-eni- https://taoufiktaharceo.webs.com] Eni, 5ème groupe énergétique mondial et 1er distributeur de gaz naturel en Europe, est le 1er actionnaire d’Altergaz. Pourquoi choisir Altergaz ? Parce qu’Altergaz est le 1er fournisseur privé à vous offrir une triple sécurité : Sécurité du produit : le gaz livré est le même, l’installation ne change pas. Sécurité de fourniture : Altergaz est agréé par les pouvoirs publics. Sécurité du prix : l’offre gaz naturel Altergaz garantit l’économie. Parce que plus de 7 000 professionnels font déjà confiance à Altergaz. Alors pourquoi pas vous ?


Le niveau de chiffre d'affaires a atteint 603 millions d'euros, en progression de 75% sur celui de 2009. Ce résultat est à mettre en correspondance avec la progression des volumes évoquée précédemment. Eni, qui impacte négativement le résultat d'exploitation de 6,2 millions d'€. Le titre d'Altergaz, coté sur le Marché Libre, a connu durant l'année 2010 une forte progression passant de 30€ à 70€ entre le 1er janvier et le 31 décembre. Les volumes échangés ont été particulièrement soutenus tout au long de l'année, régulièrement autour de 2 500 titres par jour, avec des pointes journalières ayant dépassé 12 000 titres échangés. Le 20 décembre 2010, le groupe pétrolier et gazier italien Eni, premier commercialisateur de Gaz Naturel en Europe, a pris le contrôle d'Altergaz avec 55.2% du capital, correspondant à environ 66,4% des droits de vote.


Depuis, il a augmenté sa participation à 63,43% représentant 71% des droits de vote. La société confirme ses ambitions de croissance sur ses marchés cibles. Sur les segments des clients professionnels, elle poursuivra son rythme de captation de nouveaux clients et de renouvellement des contrats venant à échéance. Conformément aux échéances contractuelles, la société a débuté la renégociation de son contrat d'approvisionnement à long terme avec Eni. Lors de sa réunion du 2 mars 2011, Le Conseil d'administration a modifié la gouvernance de l'entreprise. Madame Maria Rita Galli a démissionné de son mandat de Président du Conseil d'administration. Monsieur Grégory Gosset a démissionné de son mandat de Directeur Général. Le Conseil d'Administration a nommé Monsieur Jacques Deyirmendjian comme Président du Conseil d'Administration et Directeur Général.


Au cours de sa carrière à Gaz de France, Jacques Deyirmendjian (X, ENSAE) a occupé différentes fonctions économiques, commerciales, et techniques. Nommé Directeur International en 1990, il est responsable de l'approvisionnement en gaz naturel du marché français ainsi que du développement international de Gaz de France. Fondé en 2004, Altergaz est le 1er fournisseur indépendant de gaz naturel français à avoir, le 2 mai 2005, obtenu du Ministère de l'Industrie l'autorisation de fournir du gaz à la clientèle professionnelle. En juin 2007, Altergaz a reçu l'autorisation de vendre du gaz aux particuliers, dans le cadre de l'ouverture du marché à la clientèle résidentielle. Altergaz s'est préparée aux perspectives offertes par l'ouverture du marché en scellant dès juin 2007 une alliance industrielle et financière avec Eni, 1er opérateur gazier européen. Eni s'est engagé sur le long terme à livrer à Altergaz à des conditions compétitives, un volume de gaz naturel en ligne avec la croissance de son développement sur le marché français.


— Altergaz, fournisseur indépendant de gaz naturel en France, annonce que le Groupe pétrolier et gazier italien Eni accroît sa participation dans la Société. ENI a acquis, le 20 décembre, dans le cadre de son pacte d'actionnaires avec les fondateurs, les parts de ces derniers pour détenir 55,2% du capital d'Altergaz, correspondant à environ 66,4% des droits de vote. En conséquence, le pacte d'actionnaires entre les fondateurs et ENI a pris fin. Lors de sa réunion du, 20 décembre, le Conseil d'Administration a modifié la gouvernance de l'entreprise, suite à ce changement d'actionnariat. Monsieur Robert Delbos, fondateur d'Altergaz, a démissionné de ses mandats d'Administrateur, de Président du Conseil d'Administration et de Directeur Général.


L'assemblée générale d'Altergaz prévue ce matin aura des allures de combat. Un bras de fer oppose l'actionnaire de référence, le pétrolier italien ENI, et les minoritaires. En toile de fond, une question : quelle est la valeur d'Altergaz ? Si ENI finit par lancer une OPA sur ce petit rival de GDF Suez, quel doit en être le prix ? Altergaz vaut 300 millions d'euros en Bourse, mais certains actionnaires évoquent une valorisation de 400 à 500 millions d'euros d'ici à deux ou trois ans. Dans l'immédiat, les actionnaires minoritaires s'interrogent sur les comptes de l'exercice 2010 et pointent du doigt un conflit d'intérêt avec ENI.


Ce dernier fournit une partie du gaz achetée par Altergaz mais possède aussi 63,4 % du capital et 71 % des droits de vote. « Nous allons mettre en doute les comptes de l'année 2010 à l'occasion de l'assemblée », explique Nicolas Walewski, gérant du fonds Alken Asset Management, qui détient 10,5 % d'Altergaz. En 2010, la société a réalisé un chiffre d'affaires de 603 millions d'euros, en hausse de 75 %, nettement supérieur à son objectif initial de 460 millions d'euros. Pour autant, elle a enregistré une perte d'exploitation de 25 millions d'euros contre un résultat positif de 8 millions d'euros l'année précédente.


La perte nette s'élève, elle, à 32 millions d'euros. « Comment peut-on expliquer le recul de la marge brute autrement que par les conditions non compétitives du contrat d'approvisionnement à long terme avec ENI ? », s'interroge Allan Green, l'un des minoritaires. Ceux-ci se sont regroupés au sein d'un concert baptisé Consellior, qui réunit Alken, Allan Green et OFI Asset Management. Ce concert détient 34,9 % du capital et 28 % des droits de vote d'Altergaz, soit un seuil inférieur à la minorité de blocage. Il a requis l'aide de l'association Adam, présidée par Colette Neuville. La direction d'Altergaz, elle, indique que cette perte résulte de la hausse de 40 % des prix « spot » du gaz au second semestre.


« En 2010, Altergaz s'est approvisionné à 50-50 sur le marché spot et via son contrat de long terme avec ENI », précise le PDG, Jacques Deyirmendjian, nommé en mars. Le groupe a aussi passé une perte de 6,2 millions à la suite d'un changement de méthode comptable. Le conflit a démultiplié la valeur de l'action. Le titre, qui valait 30 euros au 1erjanvier 2010, atteint désormais 80 euros. L'association des petits porteurs, l'Adipasa, s'est dissoute le 12 avril, la plupart des membres ayant cédé leurs titres. Entre-temps, ENI a pris le contrôle de la société en décembre en rachetant les parts des fondateurs. Cette transaction s'est faite à l'issue de tensions croissantes avec l'ancien PDG, Robert Delbos.


Altergaz bénéficie d’un nouveau gage de confiance des institutions. Il vient en effet, d’être choisi comme fournisseur de dernier recours par le Ministre de l’écologie, de l’énergie, du développement durable et de l’aménagement du territoire. Fondé en 2004, Altergaz est le 1er fournisseur indépendant de gaz naturel français à avoir, le 2 mai 2005, obtenu du Ministère de l’Industrie l’autorisation de délivrer du gaz à la clientèle professionnelle. En juin 2007, Altergaz, a reçu l’agrément de service aux particuliers, dans le cadre de l’ouverture du marché à la clientèle résidentielle. Altergaz s’est préparé aux perspectives offertes par l’ouverture du marché en scellant dès juin 2007 une alliance industrielle et financière avec Eni 1er opérateur gazier européen. Eni s’est engagé sur le long terme à livrer à Altergaz à des conditions compétitives, un volume de gaz naturel en ligne avec la croissance de son développement sur le marché français.


Altergaz permet déjà de faire des économies sur leur facture de gaz naturel à plus de 10.000 collectivités territoriales, clients particuliers et professionnels. En France, tout fournisseur de gaz naturel doit disposer d’une autorisation de fourniture, délivrée par les services de l’Etat après analyse des garanties présentées par les candidats, protège la clientèle d’une défaillance des fournisseurs. Toutefois, pour traiter le cas d’une éventuelle défaillance, la législation prévoit en complément une fourniture de dernier recours pour les clients assurant des missions d’intérêt général (écoles, hôpitaux, casernes de sapeurs-pompiers,…) dans le cadre de leur consommation de gaz naturel. Cette nouvelle marque de confiance démontre la solidité d’Altergaz et la pertinence de son partenariat avec le groupe ENI, 1er commercialisateur gazier européen. Pour la partie fourniture de gaz au grand public, Altergaz bénéficie par ailleurs depuis mars 2008, du label de confiance Clair’Energie destiné à aider les consommateurs dans leur choix de fournisseur d’électricité ou de gaz. Ce gage de qualité impose une transparence exemplaire des offres proposées sur le marché. Altergaz est le seul fournisseur de gaz à avoir reçu ce label pour son offre de gaz naturel.


ALTERGAZ, premier fournisseur indépendant de gaz naturel en France, annonce que le groupe pétrolier et gazier italien Eni, premier commercialisateur de Gaz Naturel en Europe accroît sa participation dans la Société. ENI a acquis, le 20 décembre, dans le cadre de son pacte d'actionnaires avec les fondateurs, les parts de ces derniers pour détenir 55.2% du capital d'ALTERGAZ, correspondant à environ 66,4% des droits de vote. En conséquence, le pacte d'actionnaires entre les fondateurs et ENI a pris fin. Lors de sa réunion du, 20 décembre, le Conseil d'Administration a modifié la gouvernance de l'entreprise, suite à ce changement d'actionnariat. Monsieur Robert Delbos, fondateur d'Altergaz, a démissionné de ses mandats d'Administrateur, de Président du Conseil d'Administration et de Directeur Général.


Le Conseil d'Administration a nommé Madame Maria Rita Galli et Monsieur Grégory Gosset respectivement comme Président du Conseil d'Administration et Directeur Général. Le partenariat stratégique avec Eni permettra à ALTERGAZ de soutenir et d'accélérer le développement de son activité de commercialisation de gaz naturel auprès des clients professionnels ainsi qu'auprès des particuliers. ALTERGAZ compte aujourd'hui environ 100,000 clients résidentiels et 15,000 sites professionnels pour une consommation annuelle d'environ 14 Twh. Fondé en 2004, Altergaz est le 1er fournisseur indépendant de gaz naturel français à avoir, le 2 mai 2005, obtenu du Ministère de l'Industrie l'autorisation de délivrer du gaz à la clientèle professionnelle. En juin 2007, Altergaz a reçu l'agrément de service aux particuliers, dans le cadre de l'ouverture du marché à la clientèle résidentielle. Altergaz s'est préparé aux perspectives offertes par l'ouverture du marché en scellant dès juin 2007 une alliance industrielle et financière avec Eni 1er opérateur gazier européen. Eni s'est engagé sur le long terme à livrer à Altergaz à des conditions compétitives, un volume de gaz naturel en ligne avec la croissance de son développement sur le marché français.


Je dois souscrire à un nouveau contrat de gaz naturel car j'ai maintenant une cuisinière au gaz (et c'est tout en ce qui concerne le gaz). J'ai donc comparé les offres sur internet. A ce que j'ai pu comprendre les prix de l'abonnement sont identiques pour tous les fournisseurs. J'ai donc appelé Direct Energie et Altergaz pour avoir quelques compléments d'information. Je n'ai qu'une cuisinière mais un client est un client non ? Ce n'est pas intéressant pour eux ? Et ce n'est vraiment pas intéressant pour moi ? Car selon ce qui est dit je pourrais quand même avoir 6% sur le prix du gaz.


] n'est absolument pas exagéré. J'ai souscrit à un contrat chez eux il y a 6 mois, j'ai moi-même appelé leur service pour avoir une offre de prix. Kwh et j'ai finalement souscrit chez eux selon les prix que le commercial m'avait donné par téléphone. J'ai donc reçu mon contrat par mail, auquel j'ai souscrit sur internet! L'erreur a été de ne pas réclamer les conditions tarifaires de vente qui sont censées être jointes et qui ne l'était pas, bizarrement. Etant confiante, et le vendeur me semblant de bonne foi, je ne me suis pas inquiétée et j'ai signé! Et voilà comment je me suis retrouvée avec un prélèvement mensuel supérieur de 20€ (sur 60 € au total) à ce qui était prévu. Le prix du Kwh avait augmenté de 6centimes/kwh par rapport à ce qu'il m'avait indiqué par téléphone.


J'ai passé 2 mois à appeler toutes les semaines, à passer de service en service sans que personne ne puisse faire autre chose que me dire "le vendeur s'est trompé quand il vous a donné le tarif"! Ah oui, c'est facile de se tromper et de ne pas assumer ses erreurs! Je viens donc de changer de fournisseur gaz, pour la même consommation estimée, je vais payer 44€/ mois au lieu de 60€ chez Altergaz! J'ai tout de même perdu 160€ en 8mois en étant chez Altergaz! Altergaz au téléphone, qui a fini par me dire, "si vous n'êtes pas contente, vous pouvez toujours changer de fournisseur gaz!!" Quel professionnalisme! D'après mon plombier ces pratiques sont très courantes, alors PRENEZ GARDE!


Altergaz : l'ENI entre au capital ! — La cotation d'Altergaz a été suspendue ce matin sur le Marché Libre, dans l'attente d'un communiqué. ] vient d'annoncer qu'il prenait 27,8% du capital et a signé un accord de fourniture pour 10 ans. ENI s'engage à entrer dans le capital d'Altergaz au travers d'une souscription à une augmentation de capital réservée et par acquisition d'actions. L'acquisition de 50.092 actions détenues par les fondateurs d'Altergaz au prix de 27 euros par action (soit 10% de leur participation totale ou environ 2,5% du capital d'Altergaz). Altergaz restera une société cotée sur le marché libre Euronext avec un flottant suffisant.


On le sait peu. L'électrification et le raccordement au gaz des campagnes et des villes en France sont d'abord le fait des communes. Propriétaires des tuyaux et des câbles, soucieuses d'exploiter ensemble leurs réseaux, les collectivités se sont rapidement regroupées en syndicats intercommunaux, débouchant en 1934 sur la création de la fédération nationale des collectivités concédantes et régies (FNCCR). Une association d'environ 500 collectivités locales et régionales. Fidèle à ses missions de service public, la FNCCR a lancé le 20 mars dernier "Clair'Energie". Un label de confiance destiné à accompagner les particuliers et petits professionnels dans leur choix d'un fournisseur d'électricité ou de gaz.


Depuis juillet 2007 en effet, le marché de l'énergie s'est ouvert à la concurrence avec, en gros, une douzaine de fournisseurs à l'échelle du territoire. Et autant d'offres commerciales différentes. « Clair'Energie est une simple marque, déposée à l'Inpi. Il ne s'agit donc pas d'une certification » détaille Violaine Lanneau, chargée de mission Consommation du FNCCR. Pour pouvoir utiliser cette marque libre de droits, les fournisseurs doivent en contrepartie respecter la charte d'engagement qui figure au règlement d'usage de la marque. « Ces engagements sont réalistes, peu nombreux et très ciblés, poursuit Violaine Lanneau. Ils concernent les pratiques commerciales de vente et le contenu des contrats, corrigeant certaines failles préoccupant particulièrement les associations de consommateurs.


La charte Clair'Energie impose des conditions de vente respectueuse du consommateur. Entamée il y a deux ans, la démarche a été menée en relation avec les fournisseurs. « Tous ont été informés dès l'automne 2007 du lancement de ce label, précise Violaine Lanneau. J'en ai rencontré quelques-uns, pour savoir ce qui était réalisable ou non. L'utlisation du label demande un peu de bonne volonté. Certains ne souhaitaient faire aucun effort, d'autres étaient prêts à jouer le jeu ». Enercoop, labellisé aux côtés de Altergaz, confirme. « Nous avons du modifier deux ou trois points pour pouvoir prétendre à ce label, raconte Julien Noé, de Enercoop.


Le plus difficile a porté sans doute sur les frais d'émission d'une facture papier. » Pour des raisons économiques autant que écologiques, Enercoop voulait être une entreprise "zéro papier" et pratiquait un surcoût, del'ordre de 1 euros par édition de facture pour les clients qui en faisaient la demande. « Même si cela ne concerne qu'une partie de notre clientèle, complète Julien Noé, l'abandon de cette participation aux frais représente un coût non négligeable pour une structure comme la nôtre, notamment en temps de traitement. Le lancement du label révèle deux absents de marque : EDF et Gaz de France.


Les opérateurs historiques proposent systématiquement des offres duales, conjuguant gaz et électricité, relève la FNCCR. Ce manque de transparence entretient la confusion entre les offres au tarif réglementé et celles au prix du marché. « Le dialogue est cependant loin d'être rompu avec ces opérateurs. Il n'est pas dans leur politique commerciale de tromper le consommateur » complète Violaine Lanneau. « La FNCCR a reconnu que l'ensemble de nos documents, contrat et conditions générales de vente, étaient totalement conformes à la charte. Le problème viendrait plutôt de nos pratiques commerciales » témoigne Jean-Pierre Hervé, directeur délégué à la direction commercial client habitat et professionnel de Gaz de France. « Nous recevons 10 millions d'appels par an, et produisons 40 millions de factures. Les volumes sont tels que nous devons être vigilants. A nous maintenant de tenir la FNCCR au courant du traitement de ces réclamations. Il n'est pas exclu que Gaz de France ou d'autres opérateurs puisse un jour bénéficier de Clair'Energie. « Le but n'est pas de labelliser tous les fournisseurs, mais de distinguer les plus vertueux, précise Violaine Lanneau. Deux aujourd'hui sont labellisés, l'un est en cours, un autre en discussion très avancée. S'ils sont une dizaine dans un an, il faudra alors augmenter notre niveau d'exigence » promet la chargée de mission du FNCCR.


En pleine polémique sur les tarifs du gaz, Altergaz revient à l’attaque sur ce marché pour les particuliers. Le distributeur de gaz alternatif change de nom ce mardi 9 octobre pour prendre celui de sa maison-mère, le géant italien ENI. Changement de nom et nouvelle stratégie. 800 millions d'euros par an actuellement à 1,2 milliard, a expliqué Umberto Vergine, qui dirige les activités de fourniture d'énergie du groupe. Altergaz veut devenir une véritable alternative à GDF Suez. Aujourd’hui, alors que le marché français du gaz est ouvert à la concurrence depuis 2007, 91% des 10 millions de foyers français branchés sur le gaz sont chez l’opérateur historique GDF Suez. La minorité qui reste est partagée, notamment chez Poweo Direct Energie (qui ont fusionné en juillet et qui regroupent un million de clients), E.ON ou encore Energem. ENI, entré au capital d’Altergaz en 2007, n’a en pris le contrôle que début 2012. L’entreprise s’est d’abord focalisée sur les entreprises. Néanmoins, la rentabilité n’est pas encore au rendez-vous. Altergaz a perdu 32 millions d’euros en 2010, 50 millions en 2011. Pourtant, le troisième fournisseur en France a quasiment vendu autant de gaz que le numéro 2, EDF.


Activité : fournisseur de gaz naturel. Président : Robert Delbos. CA 2009 : 340 M d'euros. Effectif : 85 collaborateurs. Altergaz s'est doté d'un outil d'automatisation du processus d'élections professionnelles. A l'époque, 60 salariés. Neovote guide et accompagne les entreprises et les associations dans la gestion de leurs élections en ligne. Les scrutins peuvent être ouverts sur plusieurs jours (généralement deux à trois jours pour des élections professionnelles). Les électeurs choisissent donc le meilleur moment pour voter, selon leurs contraintes personnelles. Facilité, flexibilité du vote pour l'électeur. Fiabilisation du processus de vote. Facilité et rapidité de dépouillement et de communication du résultat.


Harmonisation et synchronisation du processus au sein des établissements. Augmentation de la participation des salariés. On n'exclut pas du vote les absents, nomades, etc. Image positive de l'entreprise auprès de ses salariés. 1 500 euros pour une typologie de 80 votants sur des élections uniques du personnel. " Lors d'un vote classique, le bureau contrôle le processus électoral complet. Dans le cas d'un vote informatique, les prestataires ont tendance à vouloir se substituer aux organisateurs et conservent parfois les clés de cryptage. Or comment avoir confiance dans un système de vote, si vous savez qu'à tout moment un tiers peut intervenir dans son process d'administration ? " Recourir à un tiers, souvent une société informatique spécialisée dans l'audit de système de vote, de l'analyser pour s'assurer qu'il est sécurisé et conforme aux recommandations de la Cnil, notamment. Il faut savoir qu'il y a peu d'organismes qui contrôlent le bon fonctionnement du vote électronique aujourd'hui, or c'est un sujet très complexe.